Les deux hommes doivent entamer des thérapies dans les prochaines semaines
Agression aux Régates de Valleyfield: retour en Cour des accusés en mai prochain
C'est ce matin, le lundi 6 mars, que deux des trois responsables d'une agression physique survenue en juillet dernier aux Régates de Valleyfield revenaient devant la Cour du Québec au Palais de justice de Salaberry-de-Valleyfield. Dans les deux cas, les dossiers d'Yves Francoeur et d'Olivier Massé ont été reportés au 29 mai prochain.
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Selon des informations communiquées à Néomédia, le duo aurait agressé deux victimes à la suite du spectacle de Loud présenté aux Régates de Valleyfield en juillet dernier. L'une des deux victimes devra se faire opérer au nez à la suite des faits alors que l'autre a encore plusieurs séquelles à ce jour dont des dents fissurées, la mâchoire fracturée, le nez fracturé et une commotion cérébrale qui lui causent d'importantes migraines.
Un retour en Cour en mai
Le duo a comparu séparément devant le juge Joey Dubois et est défendu par le même avocat, soit Me. Alexandre Dubé qui prend la relève de Me. Guy Lalonde, absent pour des raisons de santé.
Dans le cadre du premier accusé, soit Yves Francoeur, ce dernier a été remis en liberté dans le temps des Fêtes et c'est donc en homme libre qu'il a comparu devant le premier magistrat Dubois plus tôt aujourd'hui pour faire face à deux chefs d'accusation en lien avec une agression physique.
Ce dernier est en attente qu'une place se libère pour suivre une thérapie en gestion des émotions au cours des prochaines semaines. Après que cette étape soit complétée, un rapport présentenciel sera rédigé afin d'orienter le juge dans sa prise de décision quant à la sentence à imposer.
Son dossier sera de retour en Cour le lundi 29 mai pour la prochaine étape.
De son côté, son complice, Olivier Massé, a aussi vu son dossier être reporté à la même date pour la même raison. Au cours des prochaines semaines, l'homme entamera une thérapie à Châteauguay en lien avec les événements survenus en juillet dernier. L'accusé prendrait aussi de la médication sur une base régulière pour l'aider à mieux gérer son agressivité à la suite des événements violents de juillet dernier.
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