10h31 – 01/01/2010
Voici le troisième et dernier texte du Centre d’archives de la région de Rivière-du-Loup, qui traite des origines de la Jeune Chambre à Rivière-du-Loup.
Toutes les organisations quel quelles soient vivent à certains moments de leur existence des changements internes que ce soit les clubs sociaux, les organismes de pressions, culturels, sociaux ou autres. Ce qui fait la force de ces conseils d’administration, ce sont les membres qui la composent. Au niveau de la Jeune Chambre de Rivière-du-Loup, nous ne pouvons que souligner la force, la maturité et la compétence des trois générations qui se sont succédé à la tête de l’organisme.
Il est évident que dans le présent texte, nous ne pouvons nommer toutes les personnes qui ont fait un « success story louperivois ». De ce qu’il était à ce qu’il est devenu, chacune des trois générations a été déterminante pour sa communauté.
Sans revenir sur les réussites organisationnelles des deux premiers volets, je voudrais uniquement prendre quelques lignes pour souligner le travail des hommes et des femmes qui se sont succédés pour garder le flambeau Jeune Chambre bien haut. Je dis bien les femmes puisque le mouvement Jeune Chambre a été le premier à admettre la gente féminine dans ses rangs.
Lorsque j’ai nommé les Laforest, Jourdain, Pomerleau dans le premier volet, il ne faut pas penser que c’était des « one man show », bien au contraire. Tous les fondateurs de 1961 étaient des idéalistes avec des convictions et des projets collectifs d’amélioration de leur communauté. Pour rendre hommage à ce groupe de 1961 à 1979, il faudrait publier des listes de membres pour comprendre que le mouvement Jeune Chambre a pu compter sur des leaders du milieu et a su développer les aptitudes positives de plein de gens.
Puis, vint la mouture des années 1980 à la mi 1990. Les Pelletier, Roy, Bernier ont su prendre le témoin de cette course effréné à l’excellence. Encore là, on pourrait reprendre une liste importante de personnes pour compléter ce plateau de la réussite. Les Tardif, Côté, Morin et combien d’autres sont sûrement sur la plus haute marche du podium pour confirmer le résultat probant de ces années d’implication Jeune Chambre.
De la fin des années 1990 à nos jours, une troisième génération a repris le gouvernail de ce navire amiral. Encore là, une nouvelle flamme permet de se distinguer avec entre autres les prix Chrysalides et le concours de sculptures sur glace au centre-ville de Rivière-du-Loup.
Une nouvelle politique de gestion de l’implication de ce groupe a permis un virage important misant sur l’entrepreneurship. Les Savard, Landry, Caron et associés ont misé sur une valeur sûre pour amener le mouvement Jeune Chambre sur un sommet non inventorié par leurs prédécesseurs.
L’an 2000 se devait d’amener des changements importants dans la société et le Mouvement Jeune Chambre se devait d’emboîter le pas. Autre temps, autre mœurs. Sans connaître l’ensemble de ces nouvelles activités, puisque retiré de cette organisation, je considère que l’avenir semble prometteur.
Si 1961 a été le moment où est né ce mouvement de développement au leardership et d’implication sociale pour Rivière-du-Loup, je souhaite que 2011 soit celui du souvenir et de réunion de tous ces acteurs de la réussite louperivois.