Les Storms du Sud-Ouest accueillent des joueuses de 5 à 12 ans
L'AHMVD dévoile le nom de ses équipes féminines de hockey
Le samedi 29 août dernier, des joueuses de hockey de la grande région du Suroît, âgées entre 5 et 12 ans, s’étaient donné rendez-vous sur la glace de l’aréna de Saint-Timothée à Salaberry-de-Valleyfield. L’événement était une belle occasion pour l’association de hockey mineur de Vaudreuil-Dorion, responsable du volet logistique de l’activité, de dévoiler le nom de ses nouvelles équipes féminines: les Storms du Sud-Ouest.
Il y a quatre ans maintenant, Hockey Trois-Lacs a démarré un volet féminin pour les jeunes filles de la grande région du Suroît qui souhaitent chausser les patins et s’affronter lors de joutes compétitives.
En 2019, cette association sportive a été dissoute. À la suite de cette étape, l’Association de hockey mineur a décidé de reprendre ce volet et de continuer à permettre à plusieurs jeunes filles de pratiquer leur sport favori. Mé
« Dans la région, les joueurs ont de nombreux exemples qu’il est possible de réussit dans ce domaine. Par exemple, Mélodie Daoust et Annabelle Faubert qui sont toutes les deux avec nous aujourd’hui pour entraîner et conseiller les participantes. Lors de chacun de nos événements, nous invitons des hockeyeuses professionnelles pour montrer aux filles que tout est possible », souligne Myriam Tessier, membre du conseil d’administration au sein de l’Association de hockey mineur de Vaudreuil-Dorion.
Nouveau nom
À la suite de la renaissance du volet féminin, l’AHMVD a dû trouver un nouveau nom pour ses équipes de hockey féminin: les Storms du Sud-Ouest. « L’AHMVD assure le volet logistique et opérationnel et beaucoup d’associations de hockey mineur sont regroupées au sein de celle-ci, soit celles des villes de Salaberry-de-Valleyfield, Huntingdon, Hudson, Rigaud, Île-Perrot, Hudson, Saint-Lazare et Vaudreuil-Dorion. Au total, on compte cinq présidents et de nombreuses joueuses issues de la région de Soulanges. Tout le monde travaille de concert pour développer au maximum le volet féminin », ajoute-t-elle.
Elle poursuit en soutenant que l’AHMVD n’empêchera jamais une fille de jouer au hockey avec des garçons. « Mais si elle n’en a pas envie et qu’elle veut le faire avec d’autres filles comme elle, on est là pour ça. »
En temps normal, les événements comme ce camp de perfectionnement tenu ce samedi se tiennent à l’aréna de Vaudreuil-Dorion. Mais pandémie oblige, l’activité a dû être déplacée vers l’aréna de Saint-Timothée, qui peut accueillir moins de spectateurs.
D’ailleurs, le hockey en mode COVID est légèrement différent. Seulement une quarantaine de joueuses pouvaient prendre part à l’événement de ce samedi. Un nombre maximal de joueuses peuvent fouler la glace et le sol de l’aréna en même temps. Au moins 20 joueuses qui souhaitent prendre part à l’activité de samedi n’ont pas pu en raison des contraintes de santé publique.
En entrevue vidéo, Frédérik Skerlj, le président de l’AHMVD nous explique ce qu’est le hockey en temps de pandémie.
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