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Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes, Néomédia a préparé une série d'articles

Des femmes inspirantes à (re) découvrir

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9 mars 2023
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Marie-Claude Pilon
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Par Marie-Claude Pilon, Journaliste

Dans le cadre de la Journée internationale des droits des femmes qui se tenait ce mercredi 8 mars, Néomédia a décidé de mettre en lumière des membres de la gent féminine qui se démarquent au quotidien. Que ce soit sur le plan personnel ou professionnel, ces femmes méritent d’être propulsées sous les projecteurs à l’aube de cette journée importante. 

C'est via une série d'articles prenant la forme de portraits que les lecteurs intéressés ont pu découvrir le parcours de Mélanie Dutemple, Isabelle Corbeil, Louise Lapointe, Émilie Croteau, Joanie Doire Daoust et Diane Levac. À leurs façons, elles savent inspirer de par leurs actions et leur parcours parfois atypique. 

Voici un rappel des textes publiés plus tôt cette semaine: 

Bien s’entourer pour pouvoir s’accomplir pleinement selon Mélanie Dutemple

Fondatrice et propriétaire du centre d’apprentissage Molière et Copernic, maman à la tête d’une famille recomposée de cinq garçons, enseignante à l’UQO et à l’Université de Montréal, chercheure à l’Université de Dalhousie, étudiante au doctorat, formatrice d’enseignants et membre du conseil d’administration de l’organisme Vivre & Grandir Autrement. Voilà toutes les principales fonctions qui décrivent bien le quotidien de Mélanie et les raisons pour lesquelles elle fait l’objet de ce texte.

Quand travailler revient plutôt à défendre: la réalité d'Isabelle Corbeil

Elle ne sait pas si elle a choisi de travailler pour la communauté ou si la communauté l’a adoptée, parce que cette dernière avait assurément besoin d’elle; mais toute l’action d’Isabelle Corbeil se conjugue en soutien, en aide, en défense, en trouver des solutions pour divers groupes et organismes communautaires, et ce, depuis qu’elle est adulte.

« J’ai toujours dit d’aller là où la vie nous mène » - Louise Lapointe

« Dans la vie, j’ai pour mon dire, quand tu veux du sucre à la crème, tu t’en fais. La vie c’est maintenant. » Et, pour savoir ce qu’elle veut, il n’y a pas à dire, Louise Lapointe le sait.

Née en 1951, au sixième rang d’une fratrie de dix, Louise Lapointe a appris rapidement dans la vie à faire son chemin et à prendre sa place. Cette force puisée au sein de la cellule familiale la guidera tout au long de son parcours professionnel et ses divers engagements.

« Quand il y a 12 personnes autour de la table, dans la même maison, tu apprends à vivre en communauté, à faire des compromis, à prendre ta place. Ce n’est pas toujours facile. Il faut savoir prendre la bonne place », confiait celle qui, par son histoire, semble avoir eu neuf vies.

Une Polycarpienne qui n'a pas peur de briser les barrières

Émilie Croteau de Saint-Polycarpe est l’une des huit femmes sur 18 à occuper le poste de thérapeute du sport dans la Ligue de hockey Junior majeur du Québec avec les Voltigeurs de Drummondville.

Dans l’ensemble de la province, on compte 500 personnes qui pratiquent cette profession au sein de la Corporation des thérapeutes du sport du Québec.

Briqueteuse-maçonne dans l’âme depuis l’âge de 14 ans

Elle est partie à 14 ans de la maison pour vivre avec un amoureux plus âgé. Elle rêvait de faire le métier de son père qui est briqueteur-maçon et entrepreneur général. Il préférait qu’elle fasse autre chose.

Joanie Doire Daoust a bâti sa première maison à Saint-Zotique à ce moment-là. Elle a été refusée à l’École des métiers de la construction à 16 ans parce que le directeur lui a dit qu’elle n’était pas assez costaude. Au Québec, il y a seulement 2 % des femmes qui oeuvrent à titre de briqueteuses- maçonnes.

Diane Levac: née pour aider les autres 

Par amour, par obligation, ou par les circonstances de la vie, plusieurs personnes deviennent aidantes naturelles. Elles sont au chevet d’un enfant à besoins particuliers, d’un conjoint soudainement devenu handicapé ou d’un parent vieillissant. Elles accompagnent, supportent, nourrissent, apprivoisent la maladie d’un proche parce que c’est tout naturel d’être là pour la famille. 

Mais il y a aussi ces gens qui, comme Diane Levac, décident de devenir aidant naturel pour de purs étrangers, tout simplement, comme ça, parce que c’est la chose à faire. 

 

 

 

 

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