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Par V.I.V.R.E. & Grandir Autrement

Peut-on se préparer à l’adolescence ?

durée 08h00
20 juillet 2024
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Par V.I.V.R.E. & Grandir Autrement

Dans la société québécoise d'aujourd'hui, il est impensable, voire irresponsable, de ne pas se
préparer à l'avance pour sa retraite, son déménagement, ses arrangements funéraires ou encore ses vacances. Les événements du quotidien, qu'ils soient fréquents, accidentels, joyeux ou tristes, nécessitent un temps de réflexion et de planification. Cette même approche devrait également être appliquée aux différentes étapes du développement de nos enfants.

C'est pourquoi je vous propose un exercice de prise de conscience visant à aborder de manière positive cette période inévitable où nos enfants ne sont plus vraiment des enfants, mais pas encore tout à fait des adultes.

QU’EST-CE QUE LA « CRISE » DE L’ADOLESCENCE

Il est important de comprendre que l'adolescence n'est pas une crise en soi, mais plutôt une
période de croissance et de transformation. C'est un moment où les jeunes traversent différents changements physiques, émotionnels et sociaux, qui peuvent parfois être difficiles à gérer.

Il est vrai que certains adolescents peuvent éprouver des difficultés lors de cette période, mais il est important de ne pas généraliser ces difficultés à tous les adolescents. Chaque individu est unique et réagit différemment aux différents défis de l'adolescence.

Plutôt que de parler de crise, il serait plus juste de parler d'un processus de développement et d'adaptation. Les adolescents sont en train de se découvrir, de se construire une identité, de développer leurs aptitudes sociales et leurs compétences émotionnelles.

Il est donc essentiel que les parents et les adultes de l'entourage soient présents et à l'écoute des adolescents pendant cette période. Ils peuvent les soutenir en leur offrant un soutien émotionnel, des conseils et des ressources pour les aider à naviguer à travers les différents défis qu'ils peuvent rencontrer.

Il est également important de créer un environnement sécuritaire et inclusif où les adolescents
se sentent acceptés et soutenus. Cela leur permettra d'exprimer leurs émotions, de poser des
questions et d'explorer leur identité en toute confiance.

Un point culminant demeure, plutôt que de considérer l'adolescence comme une crise, il est préférable de la voir comme une période normale de développement et d'adaptation. En offrant un soutien émotionnel, des conseils et un environnement inclusif, nous pouvons aider les adolescents à traverser cette étape de manière positive et épanouissante.

Qu’on appréhende l’étape normale de l’adolescence ou pas, nous le savons, la préparation reste un allié de choix. De plus, il est nécessaire de se rappeler que l’élaboration d’un plan ne prétend pas donner le contrôle absolu et la prévision certaine de nos attentes. Toutefois, cela permet de déterminer ce qui est réellement important pour nous et également de clarifier nos
idées.

Il faut savoir que « tous les adolescents n'entrent pas en « crise », et que le monde des adultes confond souvent un peu vite toute une classe d'âge avec une minorité un peu plus visible qui sait faire parler d'elle ! » 1 . Ce qu’il faut redouter, ce n’est pas l’âge de l’individu, mais les choix douteux ou dangereux. Ceux-ci ne se produisent pas qu’à l’adolescence.

En Amérique du Nord, la « crise » d'adolescence est souvent décrite comme un passage obligé, mais quelques auteurs, comme Michel Fize, sociologue et chercheur, la remettent radicalement en question. Ces auteurs affirment clairement qu’elle émane d’une origine socialement construite et est le produit des sociétés occidentales.

« L’adolescence n’est pas un problème, mais une phase d’adaptation. L’individu doit s’adapter à différentes étapes de sa vie, selon qu’il est un bébé, un enfant, un adolescent, un jeune adulte, un adulte, une personne d’âge mûr et un vieillard. Chacune de ces phases ayant son lot d’exigences, il s’agit maintenant de déceler ce qui pourrait nous sembler un comportement à risque d’équilibre mental chez l’adolescent. On ne parle donc plus de crise mais de différentes phases, parfois traversées de manière plus ou moins difficile. » 2

CHANGER DE MENTALITÉ ET MIEUX SE PRÉPARER

Le magazine bimensuel mondial L’actualité publiait en 2009 une entrevue avec le chercheur Robert Epstein. Celui-ci déclarait alors ce qui suit : « Plus de 100 sociétés dans le monde ne connaissent pas l’adolescence. Et même en Occident, elle n’existe que depuis un siècle ».

Tous les enfants du monde passent par des changements physiologiques, hormonaux, sexuels, intellectuels et émotionnels. Alors, pourquoi cette étape déclenche-t-elle chez nos jeunes occidentaux cette tendance à la dépression, aux comportements déviants, à la revendication excessive et au suicide?

La nuance se manifeste dans la perception. La nôtre et la leur. Si nous les percevons ou s’ils
se perçoivent comme de grands enfants plutôt que comme de petits adultes, nous assisterons
au prolongement de cette phase et les conséquences seront bien palpables.

La caricature de l’éternel adolescent décrit bien cette réalité. Les enfants qui ne décollent plus du foyer familial et qui y font la loi représentent une réalité répandue. Un terme a d’ailleurs été inventé pour les identifier : il s’agit des « adulescent ».

Pour éviter ce manque d’autonomie, il faut bien comprendre les différentes périodes du développement de l’enfant et nous y adapter. Les enfants sont en constante évolution. Il est important de comprendre que nous ne pouvons pas adopter le même style parental tout le long du parcours de leur vie. Il y a un temps pour les contrôler, un temps pour les former, un temps pour les conseiller et un temps pour développer l’amitié avec eux!

Avant d’expliquer ces concepts, les parents doivent savoir qu’ils exercent plus d’influence dans la vie d’un enfant qu’ils peuvent le croire. Toutefois, il y a une condition : il faut que ceux-ci aient une part active dans leur vie.

Pour éviter que d’autres influences prévalent et que les compagnons de jeux exercent plus d’influence dans la vie de vos enfants que vous, vous devez passer du temps à jouer, à parler et à interagir avec eux durant toutes les phases de leur existence. Si vous passez moins de temps à instruire votre enfant qu’il n’en passe à regarder la télévision, à jouer aux jeux vidéo ou à jouer avec d’autres enfants, vos jeunes seront la proie d’influences extérieures aléatoires.

« Aujourd’hui, les teenagers passent environ 70 heures par semaine avec leurs pairs, ce qui ne leur laisse pas beaucoup de temps pour les adultes. En moyenne, les ados américains passent 30 minutes par semaine avec leur père… dont la moitié devant la télé! Pas étonnant que la communication avec leurs parents soit difficile! Les jeunes apprennent à peu près tout ce qu’ils savent des autres ados, alors que pour devenir des adultes, ils ont besoin d’avoir plus de contacts avec leurs aînés » 3 , rappelle le psychologue américain, Robert Epstein.

Rappelons-nous que l’objectif ultime à atteindre comme parent, c’est que nos enfants soient autonomes, responsables et équilibrés. Par où commencer? Voici les différentes étapes qui nous mènent à la maturité et à l’autonomie :

Étape 1 : Phase de contrôle. C’est le début de la vie de l’enfant. Durant cette période de la petite enfance, les enfants sont dépendants de leurs parents pour tous les besoins. Il est important, durant cette phase, que le parent démontre de l’amour en établissant son autorité, tout en encourageant l’exploration et l’autonomie progressive de l’enfant. Le monologue intérieur du parent ressemble à ceci : « Je t’aime, alors fais-moi confiance dans l’établissement des limites ».

Pour ce qui est de l’enfant, il s’agit de l’étape au cours de laquelle il développe son sentiment de sécurité. Son discours interne est celui-ci : « Aidez-moi! ». L’éducation passe par le savoir-faire à ce stade-ci. L’enfant n’a pas besoin de savoir le pourquoi du comment dans la phase de contrôle. Il faut surtout lui montrer comment être et donner de courtes informations sans argumentations.

C’est le moment d’apprendre à l’enfant à se contrôler et à reconnaître ses figures d’autorité. Très tôt, il faut travailler l'entêtement et le manque de discipline. Les enfants ont cette incroyable capacité de se contenter de peu.

Par contre, plus on leur en donne, plus ils ont tendance à être blasés. Un trop grand éventail de choix de jouets, d’objets, de repas et d’activités n’est pas bénéfique pour leur équilibre. Il ne faut pas nourrir la soif d’obtenir facilement et rapidement, à cet âge. Les jeunes enfants doivent développer l’aptitude d’attendre, de vivre avec peu de choix ou de variétés.

C’est aux parents et aux éducateurs de créer cet environnement, car très tôt, ces enfants deviennent des adolescents et des adultes difficiles à contenter et qui s’attendent à obtenir les choses facilement et rapidement.

L’acquisition d’un bien, d’un privilège ou d’un besoin ne doit pas se faire trop rapidement dans
le temps afin de ne pas encourager la gratification immédiate et l’inadaptation. Le terme « discipline » a parfois une connotation négative parce qu’on l’associe à une punition alors que discipliner, c'est donner une direction.

La punition n'est qu'une infime partie de la discipline. De plus, la discipline sans amour devient de l’autoritarisme. En effet, il y a une nuance à faire entre la position d’autorité et l’autoritarisme. Nous pouvons exercer cette position et ne pas en abuser. Le parent est une figure d’autorité et l’enfant a besoin de savoir qu’il y a quelqu’un qui en a la responsabilité. Les parents qui gardent un style parental autoritaire durant l’adolescence n’aident pas les jeunes à évoluer de façon saine et équilibrée.

Si votre autorité a été bien établie en bas âge, il y a de fortes chances que vous n’ayez pas à convaincre votre jeune que vos règles méritent d’être respectées lorsqu’il aura 14 ans.

Étape 2 : Phase de formation. Il s’agit de la période pendant laquelle l’enfant découvre énormément de concepts plus abstraits. Le discours qu’il entretient est : « Enseigne-moi et dis-moi comment je dois interpréter les événements, les sentiments et les situations qui étaient
pour moi inconnus »
.

Le parent doit entretenir le monologue suivant : « Je veux te former en te transmettant la bonne façon d’agir et de réfléchir». C’est une période d’apprentissage cognitif.

Entre 5 et 11 ans, c’est le moment de donner à l’enfant des connaissances morales plus élaborées pour préparer la phase d’intellectualisation qui se fera à l’adolescence. L’enfant aura besoin qu’on lui explique, car il veut connaitre certains détails du monde qui l’entoure et nous devons nous attarder à bien expliquer.

À l’étape 1, il fallait lui dire quoi faire et apporter une assistance physique pour le comment.

À l’étape 2, on explique soigneusement le pourquoi afin de l’encadrer dans sa réflexion. Durant cette phase, il faut transmettre des connaissances qui se colleront à la pratique. Les cas vécus, les exemples, les scénarios sociaux plus élaborés et les livres sur différentes thématiques pourront aider les jeunes à évoluer dans leurs apprentissages.

Pour aider à la formation, deux modes de fonctionnement seront utilisés :

L’orientation : Comme la famille est une microsociété, le couple doit déterminer et s’entendre sur les valeurs familiales et sociales qu’il désire transmettre pour ne pas créer d’ambiguïtés.

La modélisation : Il s’agit de votre exemple au quotidien. Il n’est pas question de perfection, mais d’efforts continus afin d’atteindre un objectif. Être un modèle dans notre façon de penser, de parler et d’agir a une influence positive sur la discipline. Montrer aux enfants ce qui est bien est de loin supérieur à la punition.

Les enfants sont très ouverts à cette étape. Ils veulent constamment être enseignés et en savoir plus, car l’activité intellectuelle et créatrice prend forme. Cependant, ils ont encore besoin d’être guidés pour ce qui est du comportement de façon général.

Il est très judicieux de les faire participer aux tâches ménagères, de leur demander de partager leur point de vue dans l’élaboration des règles de vie de la maison et même de demander leur participation à l’organisation des fêtes. C’est important et cela s’apprend. Il est certain, toutefois que ce n’est pas toujours évident…

Nous devons les aimer en nous rappelant que :

• Les enfants auront des comportements enfantins;

• Sachant que la plupart des comportements enfantins sont déplaisants, nous devons agir en adulte. Cela implique que nous allons les aimer malgré le comportement à corriger, que nous serons patients, calme, disponible, respectueux et réfléchi dans nos interventions;

• Si je les aime uniquement lorsqu’ils me font plaisir, ils ne se sentiront pas véritablement aimés et cela entraîne de l’insécurité. Nous aimons une personne plus que son comportement.

Étape 3 : Phase de recherche d'indépendance. À ce stade, les adolescents cherchent à se
détacher de la dépendance vis-à-vis de leurs parents et à découvrir leur propre identité. Ils veulent explorer et expérimenter de nouveaux intérêts, amitiés et expériences.

C'est une période cruciale où les parents doivent être ouverts à ces changements et laisser leurs enfants prendre des décisions afin de favoriser leur croissance et leur autonomie. Il est important de maintenir une communication ouverte et de continuer à fournir un soutien émotionnel et affectif. Les parents doivent être présents pour écouter les préoccupations et les questionnements des adolescents, tout en les guidant dans leurs choix et en les aidant à comprendre les conséquences de leurs actions.

Cependant, il est également essentiel d'établir des limites claires et de fournir une structure et une discipline adéquates. Les adolescents ont besoin de règles et de responsabilités pour les aider à développer leur sens des valeurs et à faire des choix responsables.

Enfin, il est crucial de permettre aux adolescents de faire des erreurs et d'apprendre de leurs expériences. Les parents doivent être là pour les soutenir et les aider à tirer des leçons, tout en les laissant assumer les conséquences de leurs actions.

En somme, pour favoriser l'autonomie des adolescents, il est important de les soutenir dans leur quête d'indépendance tout en maintenant une communication ouverte, des limites claires et une structure adéquate. Les parents doivent être présents pour écouter, guider et permettre aux adolescents de faire des erreurs et d'apprendre de leurs expériences.

1) accepter de vivre adéquatement avec les incertitudes de la vie;

2) être capable d’attendre et de se contrôler afin de ne pas tomber dans les pièges de la gratification immédiate.

Ces deux éléments importants aident à ne pas avoir peur de l’autonomie. Vous savez, les adolescents deviennent très ingénieux lorsqu’il s’agit de conserver les privilèges de l’enfance, mais vous remarquerez qu’ils demandent en même temps d’avoir les mêmes droits que les adultes…

À l’adolescence, la discipline de vie commence à s’installer. À cette étape du développement, la discipline devient cette capacité de transformer un principe de vie en action. De plus, arriver à la maturité, c’est être en mesure de calculer de façon rationnelle et objective les dangers relatifs à nos choix.

De façon générale, nous pouvons observer la maturité émotionnelle d’une personne à travers sa conduite automobile, sa façon de s’habiller, son aptitude à prendre soin des autres, le choix de ses amitiés, ses habitudes alimentaires, ses habiletés d’écoute etc. Pour aider ce processus, c’est le moment d’encourager le jeune à fonctionner de façon autonome en organisant des responsabilités d’adulte et en le conseillant.

Comme la confiance se bâtit dans l’action, il ne faut pas trop protéger votre jeune. Cela l’empêche de trouver des moyens propres à lui de s’adapter aux diverses situations qui se présentent. Si l’entraînement de la phase précédente a été établi et compris, vous pouvez faire de plus en plus confiance à votre jeune. Il a encore besoin de vous à titre d’entraîneur, mais n’en faites pas trop pour lui, car les vrais défis commencent. Il se questionne sur votre approche et vous interroge?

C’est légitime. Il ne faut surtout pas prendre cela pour un affront; il rationalise et intègre ces valeurs et ces comportements que vous avez transmis.

Étape 4 : Phase de la maturité. Phase de recherche d'indépendance et de maturité. À ce stade, les adolescents cherchent à se détacher de la dépendance vis-à-vis de leurs parents et à découvrir leur propre identité. Ils veulent explorer et expérimenter de nouveaux intérêts, amitiés et expériences. C'est une période cruciale où les parents doivent être ouverts à ces changements et laisser leurs enfants prendre des décisions afin de favoriser leur croissance et
leur autonomie.

Il est important de maintenir une communication ouverte et de continuer à fournir un soutien émotionnel et affectif. Les parents doivent être présents pour écouter les préoccupations et les questionnements des adolescents, tout en les guidant dans leurs choix et en les aidant à
comprendre les conséquences de leurs actions.

Cependant, il est également essentiel d'établir des limites claires et de fournir une structure et une discipline adéquates. Les adolescents ont besoin de règles et de responsabilités pour les aider à développer leur sens des valeurs et à faire des choix responsables.

En cette période de maturité, il est important d'encourager les adolescents à travailler activement sur eux-mêmes et à s'améliorer. Ils deviennent des modèles pour les autres et peuvent transmettre leur savoir et leurs expériences à ceux qui les entourent.

En tant que parents, il est essentiel de continuer à être présents et de soutenir nos enfants dans leur cheminement vers l'indépendance. Il est important de leur transmettre des messages encourageants, de leur rappeler qu'ils ont la capacité de surmonter les obstacles et d'avoir une vision positive de la vie.

En conclusion, pour favoriser l'autonomie et la maturité des adolescents, il est important de les soutenir dans leur quête d'indépendance tout en maintenant une communication ouverte, des
limites claires et une structure adéquate. Les parents doivent être présents pour écouter, guider et encourager les adolescents à travailler sur eux-mêmes afin de devenir des modèles pour les autres.


1 http://sante-medecine.journaldesfemmes.com/contents/941-crise-d-adolescence

2 http://www.aqpamm.ca/test/crise-dadolescence-ou-maladie/

3 http://www.lactualite.com/societe/assez-de-cette-culture-idiote/

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