Ma place chez Desjardins
Domenico Ferri : distinguer le vrai du faux
Par Texte commandité
Imaginez que pendant plus de 30 ans vous évoluez dans le domaine financier au bénéfice du même employeur pour ensuite relever de nouveaux défis au sein d’une autre organisation. Domenico Ferri* n’a plus à se l’imaginer ; il a fait ce saut dans le vide. Il a découvert un tout autre monde.
En avril 2025, Domenico terminera sa deuxième année à l’emploi de la Caisse Desjardins de Vaudreuil-Soulanges où il œuvre comme conseiller en gestion de patrimoine. Sa décision de changer d’institution financière il y a 18 mois est le fruit, on peut le comprendre, d’une longue réflexion.
« J’avais besoin d’un changement. Je n’étais pas prêt à la retraite et je me disais que j’avais beaucoup de connaissances à transmettre aux plus jeunes. J’avais plusieurs amis dans mon ancienne organisation qui avaient déjà pris la décision de se joindre au Mouvement Desjardins il y a 5 ou 6 ans. Ils me ventaient le modèle coopératif. Aujourd’hui, je n’ai aucun regret. J’aurais peut-être dû prendre cette décision plus tôt », mentionne le professionnel de 56 ans.
Qui dit nouvelle organisation, dit nouvelles façons de faire. Après trois décennies autre part, Domenico faisait face à un défi bien particulier : se faire la main avec de tout nouveaux outils. Il explique : « En termes de compétences et de qualités, mon expérience s’est transposée. En revanche, la Caisse a des outils et utilise des technologies beaucoup plus avancées que mon ancien employeur. Je les maîtrise bien maintenant, mais je sais que j’ai encore des choses à apprendre. »
La sincérité d’abord
Tout en s’adaptant à la « méthode Desjardins » Domenico s’est aussi imprégné de la culture Desjardins. « Les valeurs humaines de la Caisse me rejoignent à un point que j’ai du mal à exprimer. À mes débuts, j’ai été surpris de la gentillesse et l’ouverture de mes collègues. Je me demandais réellement si ce n’était qu’une façade. Aujourd’hui, j’ai la conviction que ce n’est pas le cas : c’est profondément sincère. Cette sincérité, on la sent. Desjardins place l’humain au centre de ses préoccupations. Ça impacte autant les relations entre collègues. »
Domenico, dont les racines sont italiennes, attache une valeur bien personnelle à la notion de famille et de communauté. Il considère qu’on parle souvent de « deuxième famille » en parlant de ses collègues. Or il le dit aujourd’hui en toute sincérité. « C’est quelque chose que l’on vit au quotidien, poursuit-il. Ça dépasse les paroles. »
Des relations importantes
Ces considérations humaines et personnelles ont des impacts directs sur le service offert aux membres selon le professionnel. « Il ne faut pas se faire de cachette. Un membre et son conseiller ont une relation d’affaires. Desjardins, cependant, ouvre la porte à ce que cette relation s’enrichisse. Ça passe par nos actions dans la communauté et dans notre façon d’aborder nos membres. Encore une fois, c’est facile pour une organisation d’être présent dans la communauté juste pour dire qu’elle le fait. Avec Desjardins, on le fait avec sincérité. C’est du vrai et les gens le sentent », lance-t-il avec conviction.
Dans son bureau du centre de service du boulevard Harwood, il prend justement le temps de s’informer sur la famille des membres, d’où ils viennent, ce qui les anime. Il souligne que cette ouverture à développer une relation plus humaine lui permet par la suite de mieux répondre aux aspirations de ses interlocuteurs. « On appuie le membre, mais ses projets aussi. Ce n’est plus juste une question de chiffres », admet Domenico.
Une chose est certaine, Domenico a encore toute la ferveur et l’enthousiasme d’une jeune recrue. Une recrue avec 32 ans d’expérience, cela dit.
*Représentant en épargne collective pour Desjardins Cabinet de services financiers inc.
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